2008 : Année du plus grand scandale mondial ?
Les voeux, les étrennes, les bonnes résolutions, les espoirs, les projets. Chaque année nouvelle est le début d'une espérance neuve pour soi, pour les autres, pour le monde... Mon souhait essentiel: coupez les fils qui vous relient aux marionnettistes, aux manipulateurs, aux illusionnistes qui mènent le monde.
Difficile à supporter cette impression qu'une bonne partie du monde pourrait prendre feu en 2008.
L'élection américaine, la fin de l'administration Bush pourraient conduire certaines personnes à jouer carrément la fin du système Bush, c'est à dire cette gigantesque désinformation autour de la guerre contre le terrorisme, Al Quaïda, le Proche-Orient... Et il est peu probable que le prochain président américain rompe de lui-même avec le système Bush tant il est ancré dans les esprits.
L'élection américaine, la fin de l'administration Bush pourraient conduire certaines personnes à jouer carrément la fin du système Bush, c'est à dire cette gigantesque désinformation autour de la guerre contre le terrorisme, Al Quaïda, le Proche-Orient... Et il est peu probable que le prochain président américain rompe de lui-même avec le système Bush tant il est ancré dans les esprits.
Donc des langues vont se délier peu à peu et cela a déjà commencé. Pour comprendre, il suffit de mettre en perspective certains évènements qui n'ont pas grand chose à voir les uns avec les autres de prime abord, pas grand chose mais...
Que savait Bénazir Buttho ?
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Que savait Bénazir Buttho ?
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Comment comprendre par exemple l'assassinat de Bénazir Bhutto, le 27 décembre sans penser à la déclaration qu'elle avait faite un mois avant sur la chaîne de télévision Al-Jazeera, en novembre 2007, dans l’émission "Frost Over The World"?
Elle affirmait qu'Oussama Ben Laden était mort assassiné! Pas des paroles en l'air car l'ancienne Premier Ministre du Pakistan donnait même le nom du meurtrier !
Imaginez qu'elle ait gagné les élections ou bien qu'elle ait obtenu la légitimité par les urnes de pouvoir parler au monde en tant que grand leader politique. Elle aurait pu ainsi utiliser ou dénoncer les liens entre services secrets pakistanais et islamistes qui fomentent des troubles en Inde et en Afghanistan et aurait eu des révélations à faire sur la réalité d'Al-Quaïda sur son sol avec un Oussama Ben Laden mort depuis longtemps et qui continuent à hanter nos petits écrans dans des vidéos toujours fournies par les services secrets américains.
Peu à peu, la réalité d'Al-Quaïda apparaîtrait au grand jour : des mercenaires capables de recruter des combattants et des illuminés de la Charia, agissant pour le compte de riches commanditaires et de puissances occultes. Même si, parfois, des combattants agissent de leur propre chef n'importe où ce qui ajoute à la confusion et permet de réaffirmer la capacité de nuisance d'Al-Qaïda et de nourrir l'idée d'un choc des civilisations.
Censure en Jordanie d'une interview du prince héritier
Censure en Jordanie d'une interview du prince héritier
Là aussi, une révélation plus ou moins étouffée, censurée : celle du Prince héritier de Jordanie Hassan Bin Talal, qui a évoqué, le 18 avril 2007 lors d'une interview à Al-Jazzira, un rapport américain mentionnant l’implication d’un officiel saoudien dans le financement de militants sunnites chargés de combattre le Hezbollah. Ce rapport a notamment été cité dans un article de Seymour M. Hersh publié dans The New Yorker le 5 mars 2007. L'interview n'a jamais pu être diffusée, les cassettes ayant été saisies par les autorités jordaniennes.
Un nom est alors sur toutes les lèvres, le Prince Bandar d'Arabie Séoudite, nom qu'on retrouve souvent à l'occasion d'autres évènements.
2008 : Année des révélations?
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On en prend peut-être le chemin, des noms reviennent régulièrement : le Prince Bandar, le vice-président américain Dick Chesney, des dirigeants d'entreprises d'armement américaines et britanniques.
Information toujours passée sous silence en France, depuis plusieurs années, des parlementaires américains ont lancé sans succès une procédure de destitution de Dick Chesney.
Imaginez qu'un groupe de députés français même restreint tente une procédure analogue contre Fillon, il y aurait de quoi faire des articles dans les journaux, de lancer un grand débat dans l'opinion, vous ne croyez pas? C'est le cas aux USA même si la presse française n'en parle pratiquement pas.
Dans un sondage réalisé en août 2007, une part non négligeable des américains (34%) approuve cette procédure. Ceci à cause des zones d'ombre entourant les attentats du 11 septembre, comme par exemple, l'écroulement des deux tours touchées par les avions et surtout, celui, incompréhensible, de la tour n°7, 8 heures plus tard.
Le Prince Bandar, fils adoptif de Bush... ?
Imaginez qu'un groupe de députés français même restreint tente une procédure analogue contre Fillon, il y aurait de quoi faire des articles dans les journaux, de lancer un grand débat dans l'opinion, vous ne croyez pas? C'est le cas aux USA même si la presse française n'en parle pratiquement pas.
Dans un sondage réalisé en août 2007, une part non négligeable des américains (34%) approuve cette procédure. Ceci à cause des zones d'ombre entourant les attentats du 11 septembre, comme par exemple, l'écroulement des deux tours touchées par les avions et surtout, celui, incompréhensible, de la tour n°7, 8 heures plus tard.
Le Prince Bandar, fils adoptif de Bush... ?
Goerges Bush et surtout, Dick Chesney ont entretenu des relations plus qu'amicales avec l'ambassadeur d'Arabie Séoudite à Washington : le Prince Bandar. Il l'est resté pendant 22 ans, de 1983 à 2005 ! De quoi nouer un solide réseau d'amitiés. Des relations si amicales avec l'administration Bush que la décision d'attaquer l'Irak aurait été annoncée au Prince avant de l'être à Colin Powell, chef du département d'état !
Le Prince Bandar, également mis en cause dans le scandale de la vente d'armes pour 80 milliards de dollars d'armement à l'Arabie Séoudite. Le Prince aurait touché 2 milliards de commission en 1985 !
...et ami d'Oussama Ben Laden ?
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Et ces fonds auraient servi à financer des opérations occultes sous la forme d'attentats terroristes donc peut-être Al-Quaïda a-t-il bénéficié de ces fonds. Il est évident que le Prince Bandar connaissait personnellement la famille Ben Laden et sans doute l'un de ses fils : Oussama.
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Certains vont plus loin encore en affirmant que le Prince Bandar aurait financé par l'intermédiaire de sa femme, le séjour de deux des terroristes du 11 septembre avant d'organiser en novembre 2006 le voyage de Dick Chesney en Arabie Saoudite, voyage destiné à convaincre les séoudiens du bien fondé d'un affaiblissement des musulmans chiites au Proche-Orient et d'une guerre contre l'Iran.
Comment comprendre que le scandale de la BAE qui poursuit encore aujourd'hui le Prince Bandar d'Arabie Séoudite ait été étouffé sur le plan judiciaire par Tony Blair fin 2006 au nom des intérêts supérieur de la Grande-Bretagne ?
En Italie, d'autres langues se délient
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En Italie, d'autres langues se délient
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Comment comprendre les révélations de l'ancien président de la république italienne, Francesco Cossiga, qui affirme dans le Corriere de la Serra :
"Ben Laden a soit disant confessé être responsable de l’attaque du 11 septembre 2001 sur les tours jumelles de New York, alors que tous les services de renseignements américains et européens savent désormais que cette attaque a été planifiée et exécutée par la CIA et le Mossad avec l’aide du monde sioniste dans le but d’accuser les pays arabes et pour persuader les puissances occidentales d’intervenir en Afghanistan puis en Irak."
L'étrange "prophétie" de Lyndon Larouche
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Tout éclaire un peu les propos mystérieux du député américain, Lyndon Larouche. En effet, celui-ci affirme que "quelqu'un" dans l'establishment britannique joue la fin du système financier pour en devenir le nouveau maître et que tout va s'écrouler par une succession d'actions et de révélations.
Posons-nous la question simple : Quelle type de révélations et d'actions pourraient être à l'origine d'un clash financier mondial déja amorcé avec la crise des subprimes aux USA et en Grande-Bretagne?
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Il faudrait que ce soit quelque chose d'explosif, d'énorme, touchant de plein fouet des leaders très haut placés du monde politique et économique et remettant en cause de grandes décisions politiques, diplomatiques, militaires. A moins qu'un clash financier soit destiné à écarter de simples boucs-émissaires, histoire d'éviter le chaos général.
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A suivre..