Mickey au pays des sarkophages

Publié le par Milton Dassier

 
avionBOLL.JPGIl s’est envolé vers l’Egypte après une très courte visite aux militaires français en Afghanistan. Six heures de corvée au pays des Talibans juste avant six jours au pays des sarcophages et des pharaons…
Il passera quelques jours au luxueux hôtel Old Winter Palace au bord du Nil. Un palace 5 étoiles de style victorien, appartenant au groupe Accor, situé à deux pas du fameux temple et bâti en 1886. Il paraît que c’est dans cet hotel qu’Agatha Christie eut l’idée de son roman « Mort sur le Nil ».
Carla Bruni est du voyage ainsi qu’une dizaine de privilégiés…. Malgré une augmentation de 200% de son salaire auquel s'ajoute son salaire de ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy fait appel encore une fois à ses amis.  Voyage sur un vol spécial de la Bolloré Airlines, fin de séjour dans une villa, au bord de la Mer Rouge, aimablement prêtée par l'émir d'Abou Dhabi. On comprend que le président soit résolument contre l'islamophobie...

Une fin d'année très contrastée... Jugez plutôt:

Bord du Nil

Nil.jpg


Bord de Seine

420451.jpg

Publié dans sarkozy

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P
Tiens, tiens il oublie volontairement les accusés de l'Arche de Zoe dont l'action était soutenue par Cécilia.Cache toi,Sarko, surement pas joli ce qui se cache en haut de la pyramide
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M
Goc,<br /> Je ne crois pas car cela pourrait vexer Moubarak. Or, celui-ci aimait bien Chirac et se méfie de Sarkozy qui devra donc le ménager puisque le séjour privé se transormera après en visite officielle au Caire, le 30.
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G
a mon avis, le voyage en Egypte cache plutot un sejour plus privé et plus secret en israel. Mais comme ca risquait de poser qq problèmes coté image de marque, ils ont preferé nous faire croire a des vacances en Egypte
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A
A force de penser à ses amours et aux folies collectives, sarkophage,(Le sodomite des têtes f'rançaises) pourrait avoir écrit cette chansons ... Vous voyez bien que même si ce n'est pas un être creux, rien de ce qu'il peut penser ou faire n'aura d'intêrêt collectif ... Juste sa gueule, ses potes, et c'est bien tout !<br /> <br /> Tout est affaire de décor<br /> Changer de lit changer de corps<br /> À quoi bon puisque c'est encore<br /> Moi qui moi-même me trahis<br /> Moi qui me traîne et m'éparpille<br /> Et mon ombre se déshabille<br /> Dans les bras semblables des filles<br /> Où j'ai cru trouver un pays.<br /> <br /> Coeur léger coeur changeant coeur lourd<br /> Le temps de rêver est bien court<br /> Que faut-il faire de mes jours <br /> Que faut-il faire de mes nuits<br /> Je n'avais amour ni demeure<br /> Nulle part où je vive ou meure<br /> Je passais comme la rumeur<br /> Je m'endormais comme le bruit.<br /> <br /> C'était un temps déraisonnable<br /> On avait mis les morts à table<br /> On faisait des châteaux de sable<br /> On prenait les loups pour des chiens<br /> Tout changeait de pôle et d'épaule<br /> La pièce était-elle ou non drôle<br /> Moi si j'y tenais mal mon rôle<br /> C'était de n'y comprendre rien<br /> <br /> Est-ce ainsi que les hommes vivent<br /> Et leurs baisers au loin les suivent<br /> <br /> Dans le quartier Hohenzollern<br /> Entre La Sarre et les casernes<br /> Comme les fleurs de la luzerne<br /> Fleurissaient les seins de Lola<br /> Elle avait un coeur d'hirondelle<br /> Sur le canapé du bordel<br /> Je venais m'allonger près d'elle<br /> Dans les hoquets du pianola.<br /> <br /> Le ciel était gris de nuages<br /> Il y volait des oies sauvages<br /> Qui criaient la mort au passage<br /> Au-dessus des maisons des quais<br /> Je les voyais par la fenêtre<br /> Leur chant triste entrait dans mon être<br /> Et je croyais y reconnaître<br /> Du Rainer Maria Rilke.<br /> <br /> Est-ce ainsi que les hommes vivent <br /> Et leurs baisers au loin les suivent.<br /> <br /> Elle était brune elle était blanche<br /> Ses cheveux tombaient sur ses hanches<br /> Et la semaine et le dimanche<br /> Elle ouvrait à tous ses bras nus<br /> Elle avait des yeux de faïence<br /> Elle travaillait avec vaillance<br /> Pour un artilleur de Mayence<br /> Qui n'en est jamais revenu.<br /> <br /> Il est d'autres soldats en ville<br /> Et la nuit montent les civils<br /> Remets du rimmel à tes cils<br /> Lola qui t'en iras bientôt<br /> Encore un verre de liqueur <br /> Ce fut en avril à cinq heures<br /> Au petit jour que dans ton coeur<br /> Un dragon plongea son couteau<br /> <br /> Est-ce ainsi que les hommes vivent<br /> Et leurs baisers au loin les suivent<br /> Comme des soleils révolus ...
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M
Superbe rapprochement. Léo Ferré, Aragon. Le niveau de ce blog monte monte..Il y a des passages du poême qui rappellent ce que tente d'atteindre désespérément Henri Guaino.Merci
M
Tu as raison Bob ! Il sera sûrement question de maléfices sataniques pour conquérir le monde après une cérémonie où Sarkozy en appellera à Seth...
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