Emeutes en Guadeloupe : L'état pleinement responsable
Le 28 janvier, après plus de 2 semaines de grève générale, Jego faisait annoncer par son préfet, la signature prochaine d'un accord sur les salaires:
pour les salaires inférieurs à 1,4 fois le SMIC, augmentation de 200€.
L'état prendra des mesures pour alléger les charges sociales dans le but d'aider les entreprises.
C'est juste avant la signature de cet accord que Jego quitta les négociations sans prévenir ses interlocuteurs, répondant ainsi aux ordres de Fillon. C'est juste après que la Guadeloupe comprit que l'état, le gouvernement la lachait et se montrait incapable de lui octroyer une facilité de 100 millions d'Euros juste après avoir accordé 8 milliards à l'industrie automobile sans contreparties... Deux jours plus tard, Jego revenait aux Antilles, réfutait sa déclaration... La suite, vous la connaissez... La réalité est que Jégo avait compris ce qui se passait mais il n'a pas été entendu et a été même désavoué par ses supérieurs pleins de mépris qui flippent aujourd'hui après des émeutes d'une violence extrème, bien supérieure à ce qui a secoué les banlieues françaises en 2005 !
Yves Jego, Michèle Alliot-Marie et surtout François Fillon nient la véracité de cet accord?
On rétablit la vérité en vous permettant de jger par vous-mêmes. Visionnez la vidéo ci-dessous et vous entendrez l'annonce par le préfet.