Julian Assange encensé par sa "victime" le lendemain du viol
De qui se moque-t-on ?
On vient de trouver la trace de messages tweetés par une des femmes qui prétendent avoir été violées par Julian Assange.
Le premier message dit, le 14 août: « Julian veut aller à une fête aux écrevisses, quelqu'un aurait-il deux billets disponibles pour ce soir ou demain ?"
Le lendemain, le 15 août, nouveau tweet en direct de la fête aux écrevisses : « Je suis assise dehors avec les gens les plus intelligents du monde. »
Le problème est que ces messages ont été tweetés le lendemain et le surlendemain du viol… En plus, ils ont été publiés sur tweeter et sur la page facebook de l’intéressée jusqu’à ce qu’ils en disparaissent…
Etonnant non, cette joie de vivre après un « viol » ou une agression sexuelle !
La vérité est qu’après la panne de préservatif en pleine action et la poursuite du coït, la jeune femme a eu peur à cause de la possibilité d’attraper le sida. Dans le doute, elle s’est donc rendue à la police, le 20 août, pour signaler le problème et se faire conseiller. Le policier qui l’a reçue lui a conseillé de porter plainte puisque la loi suédoise estime qu’un rapport sexuel consenti où le partenaire refuse de mettre un préservatif est assimilable à une agression sexuelle. Julian Assange avait mis un préservatif mais il s’est déchiré en cours de route.
Malgré cela, Julian Assange ne s’est pas arrêté.
En fait, la jeune femme a eu peur après le rapport sexuel et s’est dit qu’elle n’aurait pas dû continuer une fois que le préservatif de Julian Assange avait craqué.
De là à penser à un coup monté opportuniste de la police suédoise, il n’y a qu’un pas !